jeudi 10 juillet 2008

Le parc de Shenandoah

Quand on est arrivé on a eu un temps de chiotte !

Pluie, orages, vent, putois même ! la totale quoi !

Pour monter les tentes, on a bien galéré sous la pluie, et comme notre tente (la verte) fuyait on a dû en plus mettre une bâche !

Voilazzz!




Le lendemain matin ; balade de 10 bornes avec Guillaume qui c’est cassé la figure d’une barre en voulant faire le funambule fou !







Le soir guillaume a mis du fromage partout dans la tente des mères : résultat, un putois est passé les voir pendant cette affreuse nuit orageuse !




On a vu des da-ii-m’s ( des daims, pour ceux qui n’étaient pas là ! lol)

Pauline et Marie en ont touché un !

Quelques films et photos…


2 commentaires:

rachel jouan a dit…

On nous avait pourtant prévenus: pas de nourriture dans la tente, tout dans la voiture, la porte fermée à clé car ils les ouvrent!
Mais ce soir-là il pleut alors on cuisine un festin dehors (en ciré et capuche, et avec le sourire s'il vous plait, festin que l'on sert dans la tente "des mères", résultat quelques miettes de parmesan ramassées à la petite cuillère (et oui nous écoutons les conseils des gentils rangers)et on part se coucher.

Tout à coup je suis réveillée par des bruits de léchages tout près de moi, j'ai d'abord cru que c'était un daim effronté mais je me suis rappelée que les daims font plutôt dans le bruitage masticatoire et ne sont pas des fans du parmesan, alors tout à coup panique, et si c'était un ours?
Qu'est-ce que je fais? Je sors, je bouge pas? Et s'il attaquait les enfants dans les tentes à côté?
Mur par mon instinct maternel vis à vis de nos 6 trolls, je prends mon courage à 2 mains, j'ouvre la fermeture éclair et je distingue une longue forme noire avec du blanc sur le dos qui me regarde dédaigneusement et continue son léchage minutieux. Bouge pas, je fais un geste, rien, elle s'en fout la bestiole, alors je m'énerve et fait pchistt avec un grand geste , la bête passe sous le double toit et je ne la revois plus.
J'ai eu chaud: en fait c'était pas un putois mais une moufette, j'aurais pu être aspergée d'un jet d'enfer et finir la nuit dehors à me rincer sous l'orage torrentiel qui s'est abattu sur nous!
On vit vraiment une époque formidable!

les gaulois de toulouse a dit…

épatante rachel dans ton role de sauveuse.Il faut que tu nous enseigne ton fameux pschittt au son duquel meme le putois en oublie d'asperger
l'inconnue qui le dérange dans son repas.D'ailleurd cette petite moufette était peut etre une émmigrée italienne attirée par le parmesan lui rappelant son enfance,tu aurais quand
pu lui laisser son repas,mais bon je comprend ton instinct maternel
bisous bisous